L’entreprise est un outil d’exploitation qui a pour objectif de créer de la richesse. Un ensemble de risques est susceptible de porter atteinte au bon fonctionnement de ce dernier. C’est pourquoi BC Assurances vous propose la protection de votre entreprise.

La protection du capital matériel et du capital immatériel des entreprises

Quelques rappels :

  • l’objectif de l’assureur est d’indemniser l’assuré afin de le remettre dans la situation antérieure à celle du sinistre.
  • Les biens tangibles appartenant à l’entreprise représentent le capital matériel. L’assureur va proposer une garantie en capital. En fonction du risque, ce capital doit couvrir le rachat des biens détériorés.
  • Le capital immatériel est constitué de ce qui n’est pas tangible et qui pourtant est valorisable. Comme par exemple, la réputation et les brevets notamment.

Les solutions d’assurance ont soit l’objectif de protéger l’investissement, soit de protéger le fonctionnement, et idéalement les 2 à la fois.

Questionnements en lien avec la protection de votre entreprise

Comment ajuster le contrat d’assurance au risque ? Quelle place doit avoir le contrat d’assurance dans la gestion des risques ?

D’un point de vue commercial, le client professionnel traditionnel va raisonner façon « pyramide de Maslow » :

  • 1er niveau d’assurance : respect de la réglementation, forte contrainte externe.
  • 2ème niveau d’assurance : 1er niveau + protéger son investissement.
  • 3ème niveau d’assurance : 2ème niveau + protéger son outil de production dans la durée, pour éviter au maximum un arrêt d’activité.
  • 4ème niveau d’assurance : 3ème niveau + protéger la personne morale en tant qu’acteur de la société en relation avec ses parties prenantes.

Une gestion aboutie des risques laisse forcément une part de risque assumée directement par l’entreprise. Cette part de risque est nécessairement définie par le chef d’entreprise, lui-même plus ou moins averse aux risques.

Cas pratiques :

Je suis propriétaire, avec mes proches, et gérant d’une entreprise de plasturgie et locataire de mes locaux

  • 1er niveau : risques locatifs couverts + responsabilité civile exploitation.
  • 2ème niveau : 1er niveau + capital mobilier couvert après expertise préalable indépendante. Transmission des éléments aux proches, copropriétaires.
  • 3ème niveau : 2ème niveau + les process sont définis et les étapes risques sont listées et couvertes. Une des machines fournie 50% au minimum de la production. Une garantie perte d’exploitation est souscrite suite à bris de machine.
  • 4ème niveau : 3ème niveau + les risques sont couverts et partagés afin de prendre en compte l’ensemble des conséquences d’un arrêt d’activité. Un plan de continuité, même sommaire, est discuté. Le périmètre d’action du contrat d’assurance est connu ; les autres risques sont assumés. J’ai partagé ma stratégie avec mes fournisseurs ; ils connaissent mes besoins.

Quelques considérations complémentaires :

Je suis davantage soucieux des moules utilisés : j’analyse la garantie de leur transport et confirme que le contrat d’assurance les couvre bien en incendie, en bris et en responsabilité civile pour les biens confiés.

Parallèlement, je travaille sur des prototypes confidentiels avec mes clients. Comment suis-je couvert en cas de piratage de ces données sur mon serveur ?…

Cas pratique, évidemment non exhaustif, qui souligne le rôle du dialogue entre le chef d’entreprise, gestionnaire du risque, et l’assureur, à qui on a sous-traité un certain nombre de risques bien définis pour la protection de l’entreprise.

Quid des nouveaux risques ? La règle est générale à tous les contrats : un contrat d’assurance est un outil valable pour une situation. Il doit être revu régulièrement. Et bien sûr, il n’est pas possible de tout garantir.

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